LA PLUIE D’ÉTÉ · 1993

Autre
Théâtre
LA PLUIE D’ÉTÉ · 1993
Duras · Vigner

Présentation

En 1993, ÉRIC VIGNER mène un atelier au Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique (CNSAD) de Paris avec six élèves de dernière année à partir du livre de MARGUERITE DURAS : LA PLUIE D'ÉTÉ (Éditions P.O.L., 1990). Quelques mois plus tard la création de LA PLUIE D'ÉTÉ aura lieu dans un ancien cinéma de la banlieue brestoise avant de poursuivre une carrière nationale et internationale et faire l'objet d'un film pour ARTE.

"C'est que ce que je pense avec LA PLUIE D'ÉTÉ et c'est ce que je fais. Je me suis accordé à moi et à mes comédiens le droit d'essayer, chaque jour, de faire entendre cette parole qui exige, je le crois, une écoute absolue. Nous sommes en chantier. Les choses sont en train de se faire. Et c'est ce qui me plais. Et ce doute que j'ai atteint et qui ne me quitte plus m'oblige à ne rien fixer, m'oblige à la légèreté: c'est un livre ouvert ! J'écoute Ernesto. Je ne le connais pas. Même si je crois le connaître dans l'émotion qu'il me donne, au point où il me bouleverse: il se tient là, dans la souffrance et l'incertitude à décider de l'Existence ou de l'Inexistence de Dieu. Dans ce grand déséquilibre là. Et c'est là que je tiens aujourd'hui."
ÉRIC VIGNER

"Je vais faire du théâtre cet hiver et je l'espère sortir de chez moi, faire du théâtre lu, pas joué. Le jeu enlève au texte, il ne lui apporte rien, c'est le contraire, il enlève de la présence au texte, de la profondeur, des muscles, du sang. Aujourd'hui, je pense comme ça. Mais c'est souvent que je pense comme ça. Au fond de moi, c'est comme ça que je pense au théâtre ."
MARGUERITE DURAS, LA VIE MATÉRIELLE, Éditions P.O.L, 1987

"Ernesto était censé ne pas savoir encore lire à ce moment-là de sa vie et pourtant il disait qu'il avait lu quelque chose du livre brûlé. Comme ça, il disait, sans y penser et même sans le savoir qu'il le faisait, et puis qu'ensuite, eh bien, qu'ensuite, il ne s'était plus rien demandé ni s'il se trompait ni s'il lisait en vérité ou non ni même ce que ça pouvait bien être, lire, comme ça ou autrement. Au début il disait qu'il avait essayé de la façon suivante : il avait donné à tel dessin de mot, tout à fait arbitrairement, un premier sens. Puis au deuxième mot qui avait suivi, il avait donné un autre sens, mais en raison du premier sens supposé au premier mot, et cela jusqu'à ce que la phrase tout entière veuille dire quelque chose de sensé. Ainsi avait-il compris que la lecture c'était une espèce de déroulement continu dans son propre corps d'une histoire par soi inventée."
MARGUERITE DURAS, LA PLUIE D’ÉTÉ

Extrait du parcours

Printemps 1993, ÉRIC VIGNER mène un atelier au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (CNSAD) sur MARGUERITE DURAS, avec des jeunes comédiens de dernière année. Le choix de LA PLUIE D’ÉTÉ se fera sur la phrase d’Ernesto :

"Je retournerai pas à l’école parce que à l’école on m’apprend des choses que je sais pas." [1]

Cet atelier représente un nouveau tournant dans le parcours de Vigner. Marguerite Duras assiste à la présentation au théâtre du CNSAD :

"Elle est là, pour la première fois, devant la représentation de son récit La pluie d’été, mis en scène par un autre : ÉRIC VIGNER. Elle est immobile. Concentrée terriblement, les yeux rivés sur la scène sans rien voir d’autre que ce qui s’annonce. Elle écoute ces mots, ces phrases, ces gens, qu’elle reconnaît pour les avoir écrits, créés, inventés. Et parfois non. Parfois elle découvre, étonnée. Elle sourit aux temps marqués par le silence, aux temps indiqués par l’écriture, qui le sont aussi, là, dans l’espace de la lecture : …-douceur-, - il se souvient-, - silence - il réfléchit. Les parents le regardent réfléchir. (silence) - Temps… Elle orchestre son émotion sur la partition qu’il lui est donné d’entendre. Son index approuve. Ferme. Puis reste soudainement suspendu, pris dans l’attente du déroulement de ce qui se joue. Une capacité d’attention et d’émerveillement totalement pleine, digne de celle d’un enfant. La joie aussi, digne d’un enfant. Écrire est peut-être une tentative déraisonnable d’introduire l’infini dans le mortel de la vie. Dire cet écrit dans l’espace est l’acte encore plus déraisonnable de le faire éprouver dans l’instant. D’une écriture à l’autre, on assiste à un relais de la mémoire qui prend corps et s’épanouit dans l’espace poétique de la mise en scène : deux caractères deux différences se rejoignent pour confondre leur Dieu, leur Diable dans une même parole. Le relais, ce peut être ce livre brûlé qui court tout au long du récit. Qui raconte l’histoire d’un roi juif. Livre que lit Ernesto quand il ne sait pas encore lire. Le Savoir d’avant le savoir. La connaissance. Oubliée. Léguée. Quelque chose d’important est dit sur la conscience du savoir et de l’ignorance. Sur la conscience de l’holocauste. De tous ces rois d’Israël, gazés et brûlés. D’un monde qui s’est tué. D’une humanité qui s’est sacrifiée, c’est-à-dire, rendue sacrée. Tout cela est donné à voir et à entendre dans la légèreté. Légèreté comme souplesse, comme délestage de la plainte. Ce n’est plus le moment de se plaindre et de s’indigner dans les couloirs. Ce temps est révolu. Se plaindre est devenu inutile et indigne. La question qui se pose, et qui est posée, est dans la façon de se comporter à l’avenir et par rapport à l’avenir.
- La mère : C’est l’avenir, la chimie, non ?
- Ernesto : Non.
- La mère : Non. (temps). Qu’est-ce que c’est l’avenir ?
- Ernesto : C’est demain.
Pas de jugement ni de leçon de dramaturgie. C’est l’état sauvage d’avant le discours, d’avant les certitudes énoncées. On n’explique rien. Ça ne s’explique pas. Elle dit qu’il faut blanchir le texte pour atteindre l’essentiel. Il dit qu’il se laisse porter par la vacuité ; qu’il faut commencer par vider, déthéâtraliser ; qu’en faisant appel à l’inexplicable, on peut toucher du doigt la grâce et entrer dans l’espace poétique. Qu’il faut ne pas savoir. Fin de la représentation dans l’embrasement du plateau. Dans le mystère du livre brûlé. Consumé. Elle se lève. Émue. Elle dit : "Peut-être que je me suis trompée. Peut-être que le théâtre est plus fort que l’écriture."
BÉNÉDICTE VIGNER, MAI 1994

" Moi, fils de David, roi de Jérusalem, j’ai perdu l’espoir, j’ai regretté tout ce que j’avais espéré. Le mal. Le doute. L’incertitude de même que la certitude qui l’avait précédée.
Les pestes. J’ai regretté les pestes.
La recherche stérile de Dieu.
La faim. La misère et la faim.
Les guerres. J’ai regretté les guerres.
Le cérémonial de la vie.
J’ai regretté les mensonges et le mal, le doute.
Les poèmes et les chants.
Le silence j’ai regretté.
Et aussi la luxure. Et le crime.
L’amour, il regretta. (…)
Et puis une fois, il ne regretta pas.
Plus rien il regretta.
" [1]

La tournée de LA PLUIE D’ÉTÉ avec hÉlÈne babu, marilù bisciglia, anne coesens, thierry collet, philippe métro et jean-baptiste sastre débute le 25 octobre 1993 en présence de MARGUERITE DURAS en Bretagne. Le Quartz présente la pièce au STELLA, un ancien cinéma des années cinquante à Lambézellec, dans la banlieue de Brest. Suivra une tournée en France et en Russie, pendant deux ans. Une grande amitié naît entre l’auteur et le jeune metteur en scène.

Le coup de cœur d’ÉRIC VIGNER se porte sur le personnage d’Ernesto de Marguerite Duras, ce fils d’immigrés installés à Vitry. Déjà présent dans Les Enfants, film que Duras réalisa en 1984, il l’est aussi dans La pluie d’été, récit publié en 1990. Fragile et céleste, Ernesto - âgé entre 12 et 20 ans - s’est doté de deux objets sacrés : un livre brûlé et un arbre mythique. Il refuse d’aller à l’école “parce qu’à l’école on m’apprend des choses que je ne sais pas”. Dans un livre brûlé, Ernesto découvre qu’il sait lire :

"Avec ce livre... justement... c'est comme si la connaissance changeait de visage, Monsieur... Dès lors qu'on est entré dans cette sorte de lumière du livre... on vit dans l'éblouissement... Excusez-moi... c'est difficile à dire... Ici les mots ne changent pas de forme mais de sens... de fonction... Vous voyez, ils n'ont plus de sens à eux, ils renvoient à d'autres mots qu'on ne connaît pas, qu'on n'a jamais lus ni entendus... dont on n'a jamais vu la forme mais dont on ressent... dont on soupçonne... la place vide en soi... ou dans l'univers... je ne sais pas... " [1]

"Je vais faire du théâtre cet hiver et je l’espère sortir de chez moi, faire du théâtre lu, pas joué. Le jeu enlève au texte, il ne lui apporte rien, c’est le contraire, il enlève de la présence au texte, de la profondeur, des muscles, du sang. Aujourd’hui, je pense comme ça. Mais c’est souvent que je pense comme ça. Au fond de moi, c’est comme ça que je pense au théâtre." [2]

" J’ai découvert La pluie d’été au Théâtre du Conservatoire. Ce soir-là, des jeunes élèves jouaient et lisaient le livre de Marguerite Duras. Un fils d’immigrés ne voulait plus aller à l’école. Il nous le disait sous les étoiles, comme il avait raison ! Le livre s’ouvrait. On voyait le père et la mère de ce gosse, ses copains de banlieue, son instituteur, une journaliste… et… l’histoire sérieuse et drôle devenait une grande histoire. J’ai ensuite rencontré le metteur en scène de ce spectacle. C’était la première fois. Je veux vous en parler. ÉRIC VIGNER aime les textes. Il a un sens absolu (physique) de l’Espace. Voilà bien ce que je recherche au théâtre. Et cela ne me quitte jamais. (…) Comment travaille-t-il Éric Vigner ? Je ne sais pas. Mais je sais que le jeune homme peut tout demander à ses comédiens. Car il a la vigilance du fauve et le regard du poète. "
Jean Audureau (04/07/93)

Dans La Pluie d’ÉTÉ, ce livre que les comédiens vont à la fois lire et jouer, selon les moments, Marguerite Duras fait de Vitry - "l’endroit le moins littéraire que l’on puisse trouver"- une banlieue rêveuse et rêvée. L’endroit où, autour d’une famille hors les lois sociales, l’écrivain peut jouer avec les mots comme on saute sur les pierres d’un gué, parlant de l’existence et du temps, de l’école et de Dieu, de voyages et d’orages. Éric Vigner suit au plus près le fil du livre et restitue ainsi ce que Marguerite Duras génère : le sentiment.

"Cette blessure qui blesse les âmes et laisse les corps indemnes est celle-là même qui va embraser littéralement le plateau à la fin de la représentation, dressant les rideaux de flammes pour illuminer les saluts de la troupe juste avant que l’extincteur d’un pompier ne renvoie tout le monde, comédiens et public, à la nuit de Brest qui se confond ce soir avec celle de l’océan." 
HERVÉ GAUVILLE, Libération, le 9 novembre 1993

[1] MARGUERITE DURAS, LA PLUIE D’ÉTÉ, P.O.L 1990

[2] Marguerite Duras, LA VIE MATÉRIELLE, P.O.L 1987

© Photographies : Alain Fonteray
Textes assemblés par Jutta Johanna Weiss

Générique & production

Œuvre originale

Titre de l'œuvre originale: 
La Pluie d'été
Auteur de l'œuvre originale: 
Langue de l'œuvre originale : 
Français
Genre de l'œuvre originale: 
Éditeur de l'œuvre originale: 
Année de dépôt légal ou de création originale: 
1990

Marguerite Duras (1914-1996) est une écrivaine, dramaturge, scénariste et réalisatrice française.

Générique

Langue du spectacle: 
Français
Nombre d'interprètes: 
6
Mise en scène: 
Costumes: 
Lumière: 
Reportage photographique: 
Conseiller artistique:

Création production

Année de création: 
1993
Date d'avant-première: 
08-10-1993
Date de création: 
26 Oct 1993
Lieu(x) de création: 
Nombre de représentations: 
101
Nombre de spectacteurs: 
40 000

Calendrier

Répétitions & création

Présentations exceptionnelles en présence de Marguerite Duras au CNSAD · Paris 07 Oct 1993 - 08 Oct 1993
Création au Stella à Lambezellec · Brest 26 Oct 1993 - 10 Nov 1993

En tournée

Théâtre de Cornouaille · Scène Nationale de Quimper 12 Nov 1993 - 13 Nov 1993
Théâtre municipal de Caen 17 Nov 1993 - 19 Nov 1993
Théâtre de la Commune - Pandora · Aubervilliers 27 Nov 1993 - 19 Déc 1993
Théâtre de Cherbourg 18 Jan 1994 - 19 Jan 1994
Théâtre Charles Dullin · Chambéry 22 Jan 1994 - 23 Jan 1994
Théâtre National Populaire Villeurbanne 01 Fév 1994 - 20 Fév 1994
La Passerelle · Saint-Brieuc 24 Fév 1994 - 25 Fév 1994
Théâtre municipal de Nijni-Novgorod · Gorki · Russie 11 Avr 1994 - 17 Avr 1994
Théâtre de la Taganka · Moscou · Russie 12 Avr 1994
Théâtre municipal du Puy-en-Velay 10 Jan 1995 - 11 Jan 1995
Centre Culturel de Montélimar 17 Jan 1995
Théâtre populaire de Lorraine · Thionville 20 Jan 1995 - 21 Jan 1995
L'Hippodrome · Scène nationale de Douai 24 Jan 1995 - 25 Jan 1995
Le Maillon · Centre culturel de Strasbourg 02 Fév 1995 - 04 Fév 1995
Théâtre de Villefranche 09 Fév 1995 - 10 Fév 1995
La Ferme du Buisson · Noisiel 15 Fév 1995 - 17 Fév 1995
Nouveau Théâtre de Châtellerault 21 Fév 1995 - 24 Fév 1995
L'Œil Écoute à la Maison des Congrès de Clermont-Ferrand · Salle Jean Cocteau 02 Mar 1995 - 03 Mar 1995
Théâtre Municipal de Montluçon 07 Mar 1995
Association Musique Danse Théâtre à L'Odéon · Théâtre de Nîmes 10 Mar 1995 - 12 Mar 1995
Centre culturel de Cavaillon · Scène Nationale 16 Mar 1995 - 17 Mar 1995
Nouveau Théâtre d'Angers · CDN au Théâtre municipal d'Angers 23 Mar 1995 - 25 Mar 1995

Rendez-vous

15 Oct 1993
Éric Vigner rencontre le public
Maison du théâtre de Lambézellec

Avant La Pluie d'été au Stella : rencontre avec Éric Vigner pour évoquer sa démarche.

05 Déc 1993
La Classe inutile
Théâtre de la Commune-Pandora, Aubervilliers

Rencontre à l'issue de la représentation avec ÉRIC VIGNER, metteur en scène et ANNE PORTUGAL, poète et professeur de lycée.

23 Jan 1996
La Pluie d'Été · Un film de Jacques André
Projection du film · France 3

LA PLUIE D'ÉTÉ de Duras adapté par ÉRIC VIGNER
Ce travail a donné lieu à un film réalisé par Jacques André : un film de théâtre.

Diffusion sur France 3.

Communication

Création

Le Quartz Scène nationale de Brest
Le Quartz Scène nationale de Brest
Le Quartz Scène nationale de Brest
Compagnie Suzanne M. Éric Vigner
CNSAD · Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique
CNSAD · Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique
Le Quartz Scène nationale de Brest
Le Quartz Scène nationale de Brest
Le Quartz Scène nationale de Brest

CDDB - Théâtre de Lorient

En tournée

Théâtre de La Commune - Pandora - Aubervilliers
Espace Malraux / Théâtre Charles Dullin - Chambéry
La Passerelle · Scène Nationale de Saint-Brieuc
Théâtre National Populaire Villeurbanne
Théâtre municipal Nijni-Novgorod
Théâtre de Montélimar
Thionville Théâtre populaire de Lorraine
Nouveau Théâtre de Châtellerault
La Ferme du Buisson · Scène nationale de Marne-la-Vallée
Théâtre National de Strasbourg
Centre Culturel de Villefranche
Maison des Congrès de Clermont-Ferrand L'Œil écoute
Athanor - Les Fédérés
Théâtre municipal de Montluçon

Presse

"La fragilité du souffle est ici exactement dite, de même que la voix si jeune et nette de Marguerite Duras à mettre le doigt sur le "principe de vie"."
Le Monde · Michel Cournot
"Six comédiens qui lisent et jouent comme on vit, dans l'instant d'une parole et d'une présence, les fées du théâtre se penchent sur cette Pluie d'été."
Le Nouvel Observateur · Odile Quirot
"Indiscutablement une des réussites de la saison."
Actualité de la scénographie · Jean Chollet
"C'est exquis, c'est extrême."
Le Figaro · Frédéric Ferney
"Entre littérature, théâtre, et cinéma, La Pluie d'été de Marguerite Duras brûle les planches."
Libération · Hervé Gauville
"Toux ceux qui ont vu le spectacle au Conservatoire, dans la vibrante naissance d'un "essai théâtral", ont été subjugués."
Le Quotidien de Paris · Armelle Héliot
"Le roman devenu théâtre. Le texte est porté haut et tous les spectateurs décollent avec lui."
Le Parisien · Sylvie Metzelard
"La réussite est sans faille... la parole couchée sur le papier devient sensible avec une grâce irréelle, dans le fragile - et miraculeux - équilibre du théâtre et du livre."
La Croix · Didier Méreuze
"Tout cela procède d'une sorte d'émerveillement d'ordre poétique."
L'Humanité · Jean-Pierre Léonardini
"Le jeune metteur en scène Éric Vigner est en train de conquérir la France entière avec son adaptation théâtrale du livre de Marguerite Duras."
Presse de la manche
"C'est une magnifique leçon de théâtre d'aujourd'hui miroir de son temps."
Cavaillon
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1993
Luc De Maesschalck
1993
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Éric Vigner
1995
Revue spécialisée
1998
Éric Vigner
1998
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Mai 1993
1993-05
Revue spécialisée
Juil 1993
Delphine Lescuyer
1993-07
Revue spécialisée
Nov 1993
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Revue spécialisée - Note d’intention & entretien
Nov 1993
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Nov 1993
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Nov 1993
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Jan 1994
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Jan 1995
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Mar 1995
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18 Oct 1993
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20 Oct 1993
Pierre Gilles
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20 Oct 1993
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27 Oct 1993
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28 Oct 1993
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30 Oct 1993
1993-10-30
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Jean-Luc Germain
1993-11-01
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1993-11-02
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03 Nov 1993
P. G.
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04 Nov 1993
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Frédéric Ferney
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07 Déc 1993
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08 Déc 1993
Fabienne Pascaud
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Presse régionale - Critique
08 Déc 1993
F.F.
1993-12-08
Presse nationale - Critique
09 Déc 1993
B.S.
1993-12-09
Presse nationale - Critique
09 Déc 1993
Odile Quirot
1993-12-09
Presse régionale - Critique
09 Déc 1993
Armelle Héliot
1993-12-09
Presse régionale - Critique
10 Déc 1993
Sylvie Metzelard
1993-12-10
Presse régionale - Avant-papier
13 Déc 1993
1993-12-13
Presse nationale - Critique
15 Déc 1993
Frédérique Lorenceau
TDC
1993-12-15
Revue spécialisée
15 Déc 1993
Chantal Boiron
1993-12-15
Presse nationale - Critique
16 Déc 1993
Monique Le Roux
1993-12-16
Presse nationale - Critique
16 Déc 1993
Didier Méreuze
1993-12-16
Presse nationale - Avant-papier
21 Déc 1993
1993-12-21
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Dominique Gros
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Presse régionale - Critique
28 Jan 1994
1994-01-28
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03 Fév 1994
J.PH.M.
1994-02-03
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09 Fév 1994
Marielle Créac'h
1994-02-09
Presse nationale - Critique
22 Fév 1994
Jean-Pierre Léonardini
1994-02-22
Presse régionale - Critique
26 Fév 1994
Josiane Guéguen
1994-02-26
Presse nationale - Avant-papier
20 Mai 1994
Jean-Pierre Thibaudat
1994-05-20
Presse nationale - Avant-papier
27 Juin 1994
Jean-Pierre Thibaudat
1994-06-27
Presse nationale - Critique
12 Jan 1995
1995-01-12
Presse régionale - Critique
13 Jan 1995
1995-01-13
Presse régionale - Avant-papier
18 Jan 1995
1995-01-18
Presse régionale - Critique
20 Jan 1995
C.S.
1995-01-20
Presse régionale - Critique
04 Fév 1995
1995-02-04
Presse régionale - Critique
04 Fév 1995
Chloé Hunzinger
1995-02-04
Presse nationale - Avant-papier
09 Fév 1995
Véronique Jacob
1995-02-09
Presse régionale - Critique
10 Fév 1995
1995-02-10
Presse régionale - Critique
24 Fév 1995
1995-02-24
Presse régionale - Critique
26 Fév 1995
1995-02-26
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27 Fév 1995
1995-02-27
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28 Fév 1995
1995-02-28
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01 Mar 1995
1995-03-01
Presse régionale - Critique
09 Mar 1995
1995-03-09
Presse régionale - Critique
09 Mar 1995
1995-03-09
Presse régionale - Critique
10 Mar 1995
1995-03-10
Presse nationale - Avant-papier
15 Mar 1995
Y.B.
1995-03-15
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26 Jan 1996
1996-01-26
Presse nationale - Avant-papier
04 Mar 1996
Claire Devarrieux
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05 Mar 1996
Claude Lasbleiz
1996-03-05
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Matière artistique

Texte

(...) L'Instituteur : Le monde est loupé Monsieur Ernesto.
Ernesto, calme : Oui. Vous le saviez Monsieur... Oui... Il est loupé. Sourire malin de l'Instituteur.
L'Instituteur : Ce sera pour le prochain coup... Pour celui-ci...
Ernesto : Pour celui-ci, disons que c'était pas la...

Note d’intention & entretien
Note d’intention & entretien
Note d’intention & entretien

Depuis mon premier spectacle La Maison d'Os, de Roland Dubillard, la problématique liée au lieu, à son histoire, à sa mémoire intrinsèque, à sa magie propre est au centre de mon travail.

La Maison d...

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À propos de LA PLUIE D'ÉTÉ au Théâtre de Quimper · ÉRIC  VIGNER · Août 1993

Ce spectacle LA PLUIE D'ÉTÉ d'après le livre de Marguerite DURAS est né d'un atelier que j'ai réalisé en mars 1993 avec six...

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10 ANS

Lorient, le 4 juillet 2005 · BÉNÉDICTE VIGNER

J'ai 17 ans quand je lis LES PETITS CHEVAUX DE TARQUINIA, je découvre le Campari et MARGUERITE DURAS pour toujours. Je saoule probablement la terre entière avec cette passion que j'ai pour elle, ses histoires, ses noms, ses silences et ses cris, ses fleuves et ses villes jusqu...

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Découverte de la Pluie d'été

ÉRIC VIGNER · Mars 1993

Né de la rencontre d'un film et d'un désir d'écriture, LA PLUIE D'ÉTÉ est un livre hybride où l'on passe insensiblement de scènes dialoguées à la narration, au récit, au roman. Le passage se fait sans heurts, avec...

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Extraits du dossier de présentation du film "Ce que raconte Ernesto"

Avec l'image d'un train qui s'éloigne sur un quai de la gare de l'Est, la voix de MARGUERITE DURAS commence à raconter comment elle a été amené à écrire La Pluie d'Eté...

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Mieux vaut parler comme on veut que comme il faut, sinon je vais me taire c'est à choisir.
ROLAND DUBILLARD · 1962

LA COMPAGNIE SUZANNE M. ÉRIC VIGNER a désormais trois ans d'existence. Elle poursuit depuis sa création son travail de recherche, selon les principes artistiques, esthétiques et moraux établis lors de sa fondation, dans "l'utopie de créer ici...

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Les Cahiers du Cinéma · ÉRIC VIGNER

Dans les Cahiers du Cinéma, Marguerite Duras disait à propos de La Maladie de la moRT : 
"Le livre est fait de paroles essayées. On ne pouvait qu'essayer de faire...

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ÉRIC VIGNER a souvent mis en scène l’œuvre de MARGUERITE DURAS : dès 1993, alors qu’il a fondé, trois ans auparavant la Compagnie Suzanne M., il monte LA PLUIE D'ÉTÉ ; c’est à cette occasion qu’il rencontre l’auteur. Il organise, en avril 1998, une lecture de La Douleur . En octobre 2001, La Bête dans la jungle ouvre la saison du CDDB-Théâtre de Lorient, qu’il dirige. Pour l’entrée de...

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Lettre d’ÉRIC VIGNER à JACQUES BLANC

Pour les 10 ans du Quartz (1988-1998)

Cher Jacques,

Le compagnonnage avec Brest s'est fait immédiatement après mon premier spectacle : La Maison d'Os de Roland Dubillard.
C'...

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Reprise de LA PLUIE D'ÉTÉ  au Conservatoire et en tournée

"Je retournerai pas à l'école parce que à l'école on m'apprend des choses que je sais pas"
MARGUERITE DURAS, LA PLUIE D'ÉTÉ, P.O.L 1990

En mars 1993 j'ai eu la chance de réaliser un atelier au Conservatoire National Supérieur d'Art...

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Le théâtre est l'art de l'éphemère, et pourtant, ou peut être pour cette raison, il dépose dans l'âme collective et individuelle des images, des sentiments, des idées; l'oubli est sélection, le théâtre est constitutif de mémoire. Mémoire d'un lieu, d'un homme, d'un peuple. Le metteur en scène ne travaille qu'à partir de ce creuset, proposer un...

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Le théâtre est l'art de l'éphémère, et pourtant, ou peut-être pour cette raison , il dépose dans l'âme collective et individuelle des images, des sentiments, des idées; l'oubli est sélection, le théâtre est constitutif de mémoire. Mémoire d'un lieu, d'un homme, d'un peuple. Le metteur en scène ne travaille qu'à partir de ce...

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Au conservatoire, j'ai eu la chance d'inscrire cette histoire dans l'or et le velours d'un théâtre à l'italienne classé monument historique. Mon travail est toujours lié à la réalité du lieu investi, à sa magie propre, travailler sur la bande, la limite, le décalage, l'entre, là où se...

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À partir de l'adaptation pour le théâtre du texte La pluie d'été de Marguerite Duras, le propos du film est d'offrir au spectateur le récit mythique et poétique d'Ernesto, son personnage principal. La mise en scène d'Eric...

Dramaturgie

L'écriture chez DURAS

LA VIE MATÉRIELLE de Marguerite Duras, P.O.L, 1987.

"Le Bloc noir. Quant on écrit, il y a comme un instinct qui joue. L'écrit est déjà là dans la nuit. Écrire serait à l'extérieur de soi dans une confusion des temps : entre écrire et...

Dramaturgie

LES ENFANTS est un film totalement neuf dans l'oeuvre de MARGUERITE DURAS, un virage à 90', magnifiquement négocié,- qui signe le retour à un cinéma pleinement parlé et dialogué. On ne dira jamais assez combien un sujet peut transformer le style d'un auteur, sa façon de faire du cinéma...

Dramaturgie

TELERAMA

Juin 1985 · JOSHKA SCHIDLOW

LES ENFANTS · Le "Candide" de Marguerite Duras

Pourquoi retourner à l'école quand on y apprend des choses que l'on ne sait pas ? Grand numéro d'ironie de Marguerite...

Dramaturgie

Cahiers Du Cinéma N° 312/313 : Marguerite Duras Les Yeux Verts

Entretien réalisé par PASCAL BONITZER, CHARLES TESSON et SERGE TOUBIANA · 1er janvier 1980 (Extrait)

L'Ecclesiaste

CAHIERS : Quelle est la génèse des Enfants?...

Dramaturgie

Entre voix et image

Étrange parole à laquelle l'écriture de MARGUERITE DURAS donne naissance : cette parole se meut en cette zone intérieure de silence où se fait le dire du pouvoir d'entendre et que les voix peuvent envahir des échos de paroles en fragments. Ce qu'il est convenu d'appeler personnages, rôles, expressions sont...

Dramaturgie

Le Monde · Cinéma

4 juin 1985 · CLAIRE DEVARRIEUX

LES ENFANTS, de Marguerite Duras , L'immense petit Ernesto

On imagine très bien Marguerite Duras et ses deux acolytes, Jean Mascolo (...

Dramaturgie

LA VIE MATÉRIELLE

MARGUERITE DURAS · POL · 1987

Le théâtre

Je vais faire du théâtre cet hiver et je l'espère sortir de chez moi, faire du théâtre lu, pas joué. Le jeu enlève au texte, il ne lui apporte rien, c'est le contraire, il enlève de la présence au texte, de la profondeur, des muscles, du sang. Aujourd’hui je pense...

Dramaturgie

Apocalypse selon Saint Jean, L'Ange et le petit livre, 10, 1-6

« Je vis un ange plein de force, descendant du ciel, revêtu d'une nuée, ayant un arc-en-ciel sur la tête. Son visage était comme le soleil, ses pieds comme des colonnes de feu. Il posa son pied droit sur la mer, son pied gauche sur la terre, et, se tenant debout sur la mer et sur...

Dramaturgie

L'Ecclésiaste (extraits)

Le livre se compose de réflexions personnelles ou autobiographiques, largement exprimées en maximes et aphorismes, en paragraphes laconiques évoquant le sens de la vie et la façon de la mener. Il proclame avec emphase la vanité, la "futilité" et l'inanité de toute action humaine, sage...

Commentaire & étude

La ruse du passeur et la conscience de l'abandon

ALAIN HÉLOU

J'ai rencontré plusieurs fois Éric Vigner, nous avons parlé de son premier spectacle, La Maison d'os de Roland...

Commentaire & étude

CE TEXTE, LA  PLUIE D'ETE

François Regnault · Mars 1993

Pour Éric Vigner.

Ce texte, La Pluie d'été, écrit à partir de ce film, Les Enfants,...

Commentaire & étude

Commentaire rédigé par Jean-François Josselin pour les 10 ans du Quartz, in Le Quartz 1988-1998

De toutes les soirées organisées par le magicien discret, secret Jacques Blanc, auxquelles il m'ait été donné d'assister, la plus...

Commentaire & étude

Éric Vigner et Sophie Khan · 2010 · Villa Europa N°1 (sous la direction de Valérie Deshoulières)

De quelle couleur est la mélancolie pour MARGUERITE DURAS et comment la montrer à...

Commentaire & étude

J'ai parfois du mal à dormir au théâtre...

Bernard Quesniaux

J'ai parfois du mal à dormir au théâtre.
Surtout quand je m'ennuie, car je suis énervé.
Heureusement j'ai des techniques.
Parfois je décide d'ouvrir le bureau....

Commentaire & étude

LA PLUIE D'ÉTÉ ou l'art du théâtre · Georges Banu

Ce spectacle dont le souvenir persiste confirme la mémoire dans sa qualité de meilleur arbitre : elle retient ou rejette selon des critères internes, subjectifs, peu importe que leur formulation soit imprécise. LA PLUIE D'ÉTÉ m...

Commentaire & étude

Lire DURAS · CHRISTIANE BLOT-LABARRERE

LE LIVRE BRÛLE ET LES ROIS D'ISRAËL DANS LA PLUIE D'ÉTÉ

Je vous ai parlé de la difficulté d'être Juif, qui se confond avec la difficulté d'écrire; car le judaïsme et l'écriture ne sont qu'une même attente, un même espoir, une même usure. Si...

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LA PLUIE D'ÉTÉ est née en toute liberté...

Marie Vallet-Sandre (élève de Terminale L option Théâtre en 1996)

Dossier personnel pour le Baccalauréat L

"Il fallait se laisser faire avec DURAS, ne pas faire le malin, (...) et donner la plus...

Commentaire & étude

DIDER-GEORGES GABILY

À TOUT VA · JOURNAL, 1993-1996 · Actes Sud 2002

"Il ne répond pas. Il repense à tout cela. Lui, par exemple, débarquant dans la salle de cinéma Le Stella à Brest transformée en théâtre-salle de cinéma. Le Stella pour les besoins de l'adaptation théâtrale de LA PLUIE D'ÉTÉ de MARGUERITE DURAS...

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Ce regard - JEAN AUDUREAU

Paris, 4 juillet 1993

"J’ai découvert LA PLUIE D’ÉTÉ au Théâtre du Conservatoire. Ce soir-là, de jeunes élèves jouaient et lisaient le livre de MARGUERITE DURAS. Un fils d’immigrés ne voulait plus aller à l’école. Il nous le disait sous...

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Ce soir, devant vous...

Claude-Henri Buffard

In Feuille de salle du TNP

Ce soir, devant vous ... des flots d'innocence subversive à faire céder tous les systèmes. À travers un texte qui, l'air de ne pas y toucher, brise et réassemble toutes les...

Correspondance

Lettre à JEAN-PIERRE MIQUEL

Marcel Bozonnet

Oui cher Jean-Pierre,

Jouer est un art. Bien sûr, on pourrait dire que c'est un artisanat, un métier, une profession. Être debout sur la scène du monde, dire à voix haute et claire la parole de...